Solastalgie-merci.fr

Le Parcours écologique des inspiré.e.s

3 raisons de suivre le Parcours écologique des inspiré.e.s

L'annonce des catastrophes écologiques à venir vous consterne, ou vous paralyse, et en tout cas vous n'y êtes pas indifférent.e.

Vous pensez à la génération à venir, à la vie qu'auront vos enfants.

Même pas sur.e que ça ne vous gâchera pas la vie, à vous ou à un proche, dans les années qui viennent...

Comment sortir de ce désastre écologique, que tant de monde semble ignorer ?

Comment vivre sereinement avec l'angoisse d'une dégradation irréversible de nos conditions de vie ?

Notre époque n'est pas une époque facile, du moins pour celles et ceux qui sont sensibles à l'écologie.

Agir, oui, mais comment s'y prendre ? Et est-ce que ça sert seulement à quelque chose...?

Ma réponse est sans détour : oui !

Oui, agir aujourd'hui est important, et c'est aussi déterminant.

Important, ça l'est d'abord pour soi. Quand on a pris conscience de l'ampleur de la crise écologique, impossible de l'oublier, ou de faire comme si de rien n'était.

Mais vivre dans l'angoisse, ce n'est pas une vie... Culpabiliser pour ce que l'on devrait faire et qu'on ne fait pas, non plus.

Et là, j'ai une bonne nouvelle : l'angoisse se dilue dans l'action. A condition que cette action soit réfléchie, adaptée, durable, et utile.

Agir, c'est aussi déterminant. Parce que les idées que nous avons aujourd'hui sont celles qui gouverneront le monde de demain.

Aujourd'hui, la majorité est pessimiste. Peut-être est-ce votre cas.

Mais l'écologie n'a que faire du pessimisme. Le pessimisme ne sert qu'à aggraver les choses.

L'écologie a besoin de personnes qui agissent, et qui, par leur action, retrouvent une vision plus optimiste de l'avenir. Et par là, deviennent inspirantes.

Le Parcours écologique des inspiré.e.s sert précisément à ça : faire en sorte que vous retrouviez une vision plus optimiste, que cette vision vous motive pour agir, et que votre action et votre vision inspirent votre entourage.

Ça vous tente ...?

Laissez-moi vous expliquer.

Impossible de devenir écologique sans soigner notre propre nature

Avec le Parcours écologique des inspiré.e.s, vous apprendrez beaucoup sur vous. Car il n'est pas possible de devenir écologique sans prendre soin de sa propre nature.

Si vous pensez qu'il suffit d'appliquer bêtement les écogestes que tout le monde connait, pour se façonner une vie plus écologique, vous aurez certainement constaté que ce n'est pas facile.

Il n'est pas simple de suivre sa conscience écologique dans le monde actuel.

On ne revient pas sur des années d'habitudes et de conditionnement en un jour, même si l'on sait qu'aujourd'hui, il faut être écologique. C'est un cheminement, un parcours, une démarche. C'est toujours beaucoup plus long qu'on ne le pense.

Beaucoup d'entre nous usent toute leur volonté en s'imposant une adaptation trop rapide, sans réfléchir au préalable à la progression de leur adaptation. Résultat : l'abandon est souvent au rendez-vous, avec une perte de confiance et une culpabilité difficiles à vivre.

Le plus délicat, c'est de nous libérer de nos propres conditionnements.

Le Parcours écologique des inspiré.e.s est conçu pour accompagner cette démarche.

Un Parcours écologique pour trouver une nouvelle logique de changement

En quelques mots, le Parcours écologique des inspiré.e.s, c'est :

  • Une série d'ateliers, suivant une progression logique pour assurer un changement serein.
  • Une réflexion sur la difficulté du changement dans notre société.
  • Une proposition pour mieux connaître vos vrais besoins, ainsi que vos valeurs propres.
  • Une méthode pour changer lentement, mais sûrement : la routine assistée.
  • Un retour sur les bases de la communication efficace, que l'on pourrait nommer "communication écologique".
  • Des infos variées, économiques, neuroscientifiques ou psychologiques, très utiles pour l'écologie, mais aussi pour d'autres domaines de votre vie.
  • Des mises en application auxquelles vous pourrez accorder votre propre quotidien.

A ce stade, vous vous dites peut-être : ok, Dominique, mais est-ce vraiment à nous d'agir ? Que pouvons-nous faire, simples citoyens, quand les entreprises continuent de polluer sans contrainte, et que les États ne font rien, ou pas grand chose, pour les en empêcher ?

En dépit de tous les avertissements des scientifiques, qui se font de plus en plus pressants pour que les règles qui entourent la production et la consommation respectent les écosystèmes et la capacité de renouvellement de la Terre, les États ont bien du mal à imposer un changement à la hauteur du défi écologique.

La logique économique prime.

Oui, les entreprises ont leur part de responsabilité. N'oublions pas, cependant, que leur objectif est la rentabilité. Difficile d'imaginer qu'elles seront à l'origine d'une transformation d'un système qui assure leurs profits. Les acteurs économiques se tirent rarement une balle dans le pied.

Seul un changement notable des modes de consommation peut transformer les plans stratégiques des entreprises.

Or la consommation dépend des consommateurs que nous sommes.

Bien sûr, je préfèrerais, et je crois que nous préfèrerions toutes et tous, ne pas changer grand chose à mon plan de vie.

Et cependant, il y a un enjeu pour l'avenir. Un enjeu de taille.

Si vous êtes sensibles à l'écologie, vous avez déjà fait un très grand pas. Malgré tout, être convaincu.e.s ne suffit pas pour changer.

Car nos vies sont remplies de deux séries d'obstacles au changement :

  • des micro-habitudes acquises depuis longtemps, et sur lesquelles nous ne revenons pas, parce que c'est plus simple,
  • des sollicitations qui jouent avec nos désirs de confort et de différenciation, en nous inondant d'images diverses, incessantes et incontournables.

Pour sortir, progressivement, de ce cadre, et adopter d'autres façons de faire, il nous faut nous entraîner. Exactement comme les sportifs le font pour atteindre un résultat compétitif.

Et pour que cet entraînement soit efficace, nous pouvons commencer par réfléchir à ce qui fait obstacle au changement.

Le Parcours écologique des inspiré.e.s commence par vous proposer de... ne rien changer !

Mais plutôt d'aborder ce qui peut expliquer nos difficultés à devenir plus écologique.

Le meilleur préalable au changement écologique, c'est l'ouverture sur ce qui nous bloque, nous influence, nous entraîne dans des attitudes qui ne sont pas écologiques.

Contre la solastalgie et l'écoanxiété, rien n'est mieux qu'agir !

Culpabilité, sentiment d'impuissance, lassitude, défaitisme, démobilisation, insatisfaction : les mots sont durs de la part de ceux qui voudraient être plus écologiques au quotidien, mais qui ne parviennent pas à changer durablement leurs habitudes.

Nous vivons une époque difficile. Pour les personnes qui sont sensibles à l'écologie, il y a un sentiment d'urgence, peu compatible avec une vie sereine.

D'un côté, nous sommes tentés de nous construire un quotidien confortable. Et de l'autre, nous pressentons, à chaque rappel de la crise climatique, que notre confort devrait être moins impactant pour l'environnement.

Contre la solastalgie et l'écoanxiété, rien n'est mieux qu'agir. Et pour agir, il faut un plan et de la méthode.

Ce qui compte, c'est de trouver des solutions qui s'adaptent à nos besoins, tout en respectant nos valeurs.

Or c'est typiquement le type de choix que nous n'avons pas appris à faire, tant, dans notre société, on nous bombarde de solutions toutes trouvées à des problèmes que nous ne nous sommes pas toujours posés.

Pour créer le Parcours écologique des inspiré.e.s, je me suis appuyée sur de nombreuses lectures, qui m'ont amenées à me dire : "Tiens, voici un argument qui m'aide à voir les choses autrement..."

Durant des années, je me suis demandée ce qui bloque quand on sait qu'il faut s'orienter vers un mode de vie plus écologique (parce que ça nous parait être la seule solution raisonnable) mais qu'on n'obtient pas un changement cohérent, durable, et surtout heureux.

Ce blocage tient en quelques mots : tant que nous n'adoptons pas de repères légèrement différents, et plus conformes à notre vraie nature, le changement écologique n'est qu'une bataille contre nous-mêmes.

En faisant ce qu'il fallait pour revoir mes repères, pour mieux me connaître, indépendamment des manipulations qui faisaient de moi, avant toute chose, une consommatrice, j'ai retrouvé de l'assurance et de la personnalité, j'ai simplifié ma vie, je l'ai orientée vers ce qui est important pour moi, et, devinez quoi : je suis devenue assurément plus écologique.

Vous allez me dire : Dominique, tu rêves, il ne suffit pas que quelques citoyen.ne.s apprennent à réfléchir autrement pour que le monde change...

Vraiment ?

Eh bien, je vous parie que si.

Comme l'a si bien dit Margaret Mead dans une citation célèbre : "Ne doutez jamais qu'une poignée d'individus conscients et engagés puissent changer le monde. C'est d'ailleurs de cette façon que ça s'est toujours produit"

Dans "Parcours écologique des inspiré.e.s", il y a "inspiré.e.s". Au sens propre du terme. J'entends par là des personnes volontaires pour changer vraiment, tranquillement mais sûrement, tout en attirant dans leur élan un certain nombre des gens de leur entourage : familles, ami.e.s, voisin.e.s, collègues. Sans les contraindre jamais.

Ces "inspiré.e.s" contribueront à nourrir le mouvement vers un point de bascule, qui facilitera le changement collectif.

Que diriez-vous d'en faire partie ?

Devenir inspirant.e pour son entourage

Comme la politique, l'écologie est en passe de devenir un sujet tabou, un sujet qui fâche.

C'est là un danger plus important encore que la difficulté de faire évoluer nos modes de vie, pour parvenir à une société désirable et écologique.

La difficulté de communication tient au caractère "moral" de l'injonction écologique. Ce qui fait de l'écologie un devoir.

Plus que jamais, nous ne sommes pas à égalité devant nos prises de conscience écologique. Mais lorsque cette conscience émerge, il y a souvent de l'écoanxiété qui s'installe.

Faute de méthode, nous nous reprochons trop souvent de ne pas faire ce qu'il faudrait faire. Ce qui fait le lit de la culpabilité.

Ces reproches que nous nous faisons s'adressent aussi aux autres : celles et ceux qui en font encore moins, ou qui vivent comme si de rien n'était.

Je le dis tout net : reprocher n'est pas communiquer.

Tenter de convaincre nos interlocuteurs, ou interlocutrices, ce n'est pas une bonne technique non plus. Même si ça parait plus pacifique, a priori, le développement d'argumentations suscite des réactions contre-productives.

Communiquer sur l'écologie, c'est comme le changement écologique : ça s'apprend.

Le Parcours écologique des inspiré.e.s consacre 2 ateliers entiers à décortiquer les écueils de communication et les meilleures techniques pour les contourner, pour parvenir à un échange positif et constructif. Ce qui permet de devenir influenceur (pour reprendre un vocable à la mode) au sens noble du terme, car pour la plus grande des causes qui soit, aujourd'hui : l'écologie.

Une communication sereine peut alors dégager de l'espace pour de nouvelles façons d'envisager l'avenir.

En + positif. En + optimiste.

C'est la transformation la plus précieuse qui soit.

10 ateliers pour une transformation écologique durable

Le Parcours écologique des inspiré.e.s commence par un atelier introductif qui amène à adopter la posture la plus efficace pour le changement écologique:

  1. Être convaincu.e que le changement doit être lent, mais régulier, pour être efficace. D'où l'importance de bien régler sa motivation.
  2. Bien évaluer sa zone d'impact, de façon à se positionner ni dans l'impuissance, ni dans l'excès.
  3. Rester fidèle à soi-même, pour optimiser son changement avec avantage, et un minimum d'efforts.

La 1ère partie du Parcours écologique des inspiré.e.s s'oriente vers le changement de notre vision du système, dans lequel nous évoluons jour après jour. L'objectif est de prendre du recul, pour rééquilibrer le poids de sa personnalité propre par rapport à des influences qui, si nous n'y prêtons pas garde, s'imposent à nous.

La 2nde partie du Parcours écologique donnent des pistes opérationnelles pour mobiliser son pouvoir d'agir, et trouver des solutions écologiques sur mesure. Il s'agit de se concentrer sur le meilleur gain écologique possible, par rapport à son mode de vie.

La 3ème partie cherche à aborder le présent et l'avenir sous un meilleur jour. Le présent, pour ce qu'il est possible de faire de constructif et d'utile dans notre société actuelle, même (et surtout) quand elle nous désespère. Car c'est dans l'action que l'inquiétude se dilue. Et l'avenir, pour en projeter le meilleur, et se construire une vision futur qui force l'espérance.

Le Parcours écologique des inspiré.e.s est actuellement en phase test, et cherche encore des testeurs. Idéalement, vous le suivrez par équipe de 2 : vous, et une personne de vos connaissances avec qui vous serez à l'aise pour progresser. Le fait d'être 2 permet aussi de créer une intelligence collective.

La participation implique l'engagement de suivre l'intégralité du Parcours, soit 1h15 d'écologie par semaine durant 2 mois et demi pour les 10 ateliers.

Si vous êtes intéressé.e, prenez contact ici.

A vous de jouer !

3 raisons de suivre le Parcours écologique des inspiré.e.s